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2. Accouchement (27/03/2014)

a). Homéopathie :

Au 9ème mois de grossesse :

Arnica montana 9ch = 5gr le matin

+

Gelsemium 15ch = 5gr le soir

+ 8 jours avant l'accouchement :

Actaea racemosa 9ch = 5gr le soir

Au moment de l'accouchement pendant le travail :

Actaea racemosa 9ch et Caulophyllum 9ch = 5 gr de chaque toutes les 5 minutes environ

Systématiquement après l'accouchement :

Arnica montana 9ch et China rubra 15ch = 5gr de chaque matin et soir

+ Si épisiotomie :

Staphysagria 9ch = 5 gr matin et soir

Contre la déprime du post-partum ou "baby blues" :

Sepia 9ch puis 15ch puis 30ch (1 dose par jour 3 jours de suite en dilutions croissantes).

 

b). Phytothérapie et Aromathérapie :

 

Pendant la grossesse, l’utilisation de plantes ou d'huiles essentielles à des fins thérapeutiques n’est pas anodine et peut se révéler dangereuse dans certains cas, pour la mère comme pour l’enfant à naître.

 

Pour cette raison, lorsque l’on est enceinte, il est impératif de consulter un médecin avant de recourir à des remèdes à base de plantes.

 

Si la grossesse est un état naturel temporaire et non une maladie, il s’agit tout de même d’une période particulière présentant certains désagréments : nausées, constipation, maux de tête, jambes lourdes, etc.

 

Toutefois, l'automédication est absolument à proscrire, que ce soit par des médicaments habituellement utilisés ou par des produits de phytothérapie.

 

Pour éviter les accidents, il est indispensable de consulter un médecin avant de prendre un remède à base de plantes, quel qu’il soit.

 

En effet, les remèdes à base de plantes, bien que naturels, ne sont pas sans danger pour le fœtus.

 

De plus, certaines plantes ont des propriétés stimulantes sur les muscles de l’utérus qui peuvent déclencher une fausse couche

 

Quelques rares plantes sont néanmoins couramment proposées par les médecins aux femmes enceintes, sans que cela pose de problème.

 

Elles doivent être utilisées telles quelles (et non dans un produit manufacturé ou dans un mélange).

 

Les mêmes précautions s’imposent pendant l’allaitement.

 

En effet, il ne faut pas oublier que toutes les substances absorbées par la mère sont susceptibles de passer dans le lait maternel et d’avoir un effet sur le nouveau-né.

 



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